La galerie picasa des couvertures de Martine a été fermée.

"La Patrie brûlait sourdement dans quelques cerveaux hardis...UN DRAPEAU DE FUMEE MARQUAIT NOTRE CHEMIN" Ernst von Salomon
Dans la deuxième partie de son entretien avec Zenit, l'auteur du Livre Noir des nouvelles persécutions antichrétiennes, indique :
"[R]egardons la situation actuelle en Chine - pays le plus peuplé au monde - et au Vietnam voisin, avant d'appeler à la vigilance en Amérique latine. Par ailleurs, nous démontrons aussi en quoi, même après la chute du Mur, l'opinion publique mondiale reste soumise aux manipulations communistes [...] il est important, à côté d'une information exacte sur des faits concrets, d'identifier la filiation intellectuelle des « nouveaux persécuteurs ». Ainsi, je parle de la situation actuelle en Chine (on ne sait même pas si les évêques et prêtres emprisonnés sont encore en vie !), au Vietnam, en Corée du Nord, à Cuba".

![]() | Cité du Vatican, le 30 novembre 2007 - (E.S.M.) - Le Vatican publie ce midi le texte officiel de l'encyclique du pape Benoît XVI, "Spe Salvi", inspirée de la lettre aux Romains (8,24), "dans l'Espérance, nous avons tous été sauvés". |
Le pape Benoît XVI
Encyclique "Spe Salvi " du pape Benoît XVI
Le Vatican publie ce midi le texte officiel de l'encyclique du pape Benoît XVI, "Spe Salvi", inspirée de la lettre au Romain (8,24), "dans l'Espérance, nous avons tous été sauvés".
L’ancien secrétaire général de l’Elysée sous Mitterrand a été pris à partie hier par des militants accusant la France de complicité dans le génocide rwandais. Un happening macabre où avaient été conviés M6 et l’agence photo Gamma. Hubert Védrine a porté plainte contre X.
Tout jeune, j'étais confronté à une contradiction flagrante : mon père était un communiste fou de westerns, mais, à cause de ses convictions, il voyait les westerns en cachette. Parce qu'officiellement il fallait détester le western américain, pur produit de l'idéologie impérialiste US. (…) J'ai appris le nihilisme et cette culture de se construire dans la haine de ce que l'on est. Tout ce qui n'était pas blanc était formidable, tout ce qui était blanc était mal.


TF1, les Echos, le Figaro, attention tournis : la valse des têtes médiatiques s'emballe. Pour commencer, Nicolas Beytout change de job. Le directeur de la rédaction du Figaro part diriger DI Group (le pôle médias du groupe de Bernard Arnault LVMH). « J'ai dit [à la rédaction] que j'allais partir », précise-t-il. DI Group est un gros morceau : en plus de Radio Classique ou de Connaissance des arts, il comprendra bientôt Les Echos... et lorgne sur le Financial Times. « Nicolas Beytout revient comme un véritable éditeur-développeur », note Jean-Clément Texier, expert chez BNP Paribas.
Ce départ entraîne un jeu de dominos au Figaro : ce matin, une réunion chez Dassault, son propriétaire, entérine un nouvel organigramme qui fait prendre du galon à... Etienne Mougeotte. L'ex-n° 2 de TF1, devenu fin juillet directeur du Figaro Magazine, devrait se muer en directeur des rédactions du groupe. Hier, il restait silencieux.
Plus que jamais, cette valse à mille temps se danse dans la salle de bal des habitués de l'Elysée. M. Arnault fut témoin de mariage de M. Sarkozy. M. Beytout figurait sur la short list des invités du Fouquet's le soir du deuxième tour. Vendredi, le président de la République lui-même annonçait à des journalistes des Echos l'arrivée de M. Beytout chez LVMH. Samedi, M. Mougeotte faisait du zèle dans son edito du FigMag : « Continuez à tenir bon, monsieur le président ». « On voit que le cénacle des dirigeants de médias est tout petit, se gausse un connaisseur. Ça montre à quel point on est sur des effets de réseaux. »
D'en bas, les journalistes des rédactions concernées scrutent d'un oeil inquiet ce jeu très entre-soi de chaises éditoriales. « Etienne Mougeotte a le sens de ce qui plaît au lecteur, témoigne une signature du FigMag. Mais avec lui, un sujet sur la collection d'objets d'art d'Alain Delon passe avant tout le reste. Privilégiera-t-il pour tout le groupe le people au détriment de l'actu ? » Au Figaro, M. Beytout, parfois décrit comme « un manager cassant », a beau être honni par certains services, beaucoup lui accordent d'« avoir été un rempart efficace contre les tentatives d'intervention de Dassault ». A 15 h aujourd'hui, il dira au revoir aux journalistes du quotidien.
Raphaëlle Baillot - ©2007 20 minutes
Source (20 minutes)
E-deo cite l'éditorial de Philippe Cohen dans Marianne :
"Sarkozy et le gouvernement proclament leur femeté, les syndicalistes leur colère. Mais ni les uns ni les autres ne croient à ces sentiments très médiatiques. Et personne ne peut croire à cette grève telle qu’elle nous est jouée sur la scène publique. Baudrillard l’aurait écrit : il n’y a pas de mouvement social, il n’y a pas de gouvernement. Ferme, Sarkozy ? Chacun finira par comprendre que notre Président a toujours été un faux-dur habitué à céder devant toute velléité de mouvement. La réforme des régimes spéciaux ne s’appliquera pas aux cheminots actuels, et le gouvernement est sans doute prêt à céder dans les autres entreprises publiques. La CGT l’a enfin compris qui accepte une négociation au son du canon. [...]
Il y a plus grave : chacun sait que les réformes, qui nous sont présentées comme autant de révolutions, ne changeront rien d’essentiel à ce qui doit l’être. La réforme des régimes spéciaux soulagera de 200 millions d’euros l’équilibre des comptes d’un dispositif dont le déséquilibre va atteindre 15 milliards d’euros. La loi Pécresse ne résoudra rien à l’improductivité d’un système qui connaît des taux d’échecs de 30 à 40% dans les deux premières années de fac parce ce que l’on refuse avec obstination toute orientation contraignante pour les étudiants. [...]
[I]l n'y a pas de réforme et, sur ces dossiers, Sarkozy se révèle un clone de son maître Chirac."
Journal de France 3 Iroise (édition locale de France 3 ouest), le mardi 6 novembre.Le Président y lance - notamment - souriant devant les caméras :
“En plus je vous amène le beau temps”.
Quelqu’un dans la foule lui rétorque alors :
“En Bretagne, il pleut que sur les cons”.
Nicolas Sarkozy répond alors à l’oreille d’un pêcheur : ” Eh bien il doit pleuvoir souvent!”.
Allez jusqu’au bout de la séquence, vous ne le regretterez pas !
Le président de la République s'est octroyé une augmentation pour la nouvelle année.Tous les médias en ont parlé. Mais tous semblent en désaccord sur un point pourtant essentiel : le montant réel de ce salaire, au départ et à l'arrivée.
Voici, les chiffres que nous donnaient les JT. Trois chaînes, trois montants différents. Un seul point d'accord : le taux d'augmentation, 140 %.
Nicolas Sarkozy arrache son micro et quitte un entretien télévisé mené par une journaliste américaine à l'Elysée. Les faits remontent à plus de deux semaines, mais les images sont apparues hier soir dans une émission, à quelques jours du voyage de Sarkozy aux Etats-Unis...
Augmentation du nainbab de l'Elysée : il devrait gagner plus et connaître une augmentation de 140% selon une note interne de l'Elysée. Voilà une mesure qui lui permettra de gagner autant que le Premier ministre, mais surtout d'aligner ses revenus sur ceux de ses homologues européens...
RIPOUBLIQUE bananière !!!!
C'est l'évènement du jour dans l'Eglise. Le pape Benoît XVI a rendu hommage aux martyrs,
"ces témoins héroïques de la foi qui, motivés exclusivement par l'amour du Christ, ont payé de leur sang leur fidélité au Christ et à son Eglise. Que leurs paroles et leurs gestes de pardon envers leurs persécuteurs nous poussent à travailler inlassablement à la miséricorde, la réconciliation et la coexistence pacifique. [...] le témoignage suprême du sang n'est pas une exception réservée à quelques individus, mais une éventualité pour tout le peuple chrétien. [...] Certes, tous ne sont pas appelés au martyr du sang [mais il existe aussi un] martyr de la vie ordinaire [...] un témoignage particulièrement important dans la société sécularisée de notre temps".
Cette béatification a provoqué une polémique en Espagne, alors que le gouvernement de José Luis Zapatero s'apprète à faire adopter mardi prochain par le parlement une loi réhabilitant la mémoire des victimes du franquisme. Le ministre des Affaires étrangères Miguel Angel Moratinos et le rapporteur du projet de loi, le socialiste Jose Torres Mora, représentaient le gouvernement à la messe.
Plusieurs dizaines de milliers de pèlerins étaient venus avec 71 évêques pour la plus importante béatification de masse de l'histoire de l'Eglise catholique. La célébration a été présidée place Saint-Pierre par le représentant du pape, le cardinal portugais José Saraiva Martins, préfet de la congrégation pour les causes des saints. Le pape s'est adressé aux pèlerins de la fenêtre de son bureau après la messe, à l'occasion de l'angelus.
2 évêques, 24 prêtres, 462 membres d'ordres religieux ainsi qu'un diacre, un sous-diacre, un séminariste ainsi que 7 laïcs figurent sur la liste des béatifiés. Ils ont été tués en 1934, 1936 et 1937. Sur ce sujet, on lira avec intérêt le numéro d'octobre du mensuel La Nef.

A lire
► Benoit XVI et les martyrs d' Espagne
► Benoît XVI rappelle que de nombreux chrétiens témoignent de leur foi dans le sang
La ministre de la Justice aurait été reçue à l'Ecole de la Magistrature en présentant un dossier mentionnant un diplôme qu'elle n'a en fait jamais eu.
Rachida Dati, ministre de la justice, a été reçue à l’Ecole de la Magistrature en présentant un dossier falsifié, peut-on lire cette semaine dans le magazine L’Express. Un scoop retentissant, puisque, comme l’expliquent nos confrères, une "rumeur" courrait Paris depuis cet été: "la Garde des Sceaux aurait usurpé ses diplômes. L’affaire est devenue tellement sensible que le ministère de l’Intérieur a fini par s’en émouvoir". Quelques lignes plus loin, arrive la réponse de l’Express : "Son dossier (pour intégrer l’école de la magistrature, ndlr) fait état de deux maîtrises, de cours suivis à l’Isa et -curieusement- de l’obtention d’un 'MBA européen du groupe HEC-ISA'", détaille l’hebdomadaire. "Or, rappelons-le, selon la grande école, elle n’a jamais obtenu le diplôme…".
On va donc résumer : la garde des Sceaux a certainement été choisie à ce poste, pour avoir été magistrate. Or, elle a intégré l’ENM sur la base d’un dossier dont un des principaux éléments se révèle faux. Comme dirait la ministre, elle-même: "Quand on veut, on peut".
Source: nouvel obs

Un gendarme a remis le billet à Odette. Après avoir précisé : « Guy était amoureux de moi et je ne le savais pas », elle déclarera[16]
Un poème, saisi sur Guy Môquet le jour de son arrestation, contenait le quatrain suivant : [18]
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