jeudi 28 juin 2007

LA PENSEE SALUTAIRE DE Nicolàs Gomez Dàvila


« Les deux ailes de l’intelligence sont l’érudition et l’amour ».

Nicolás Gómez Dávila














"La liberté à laquelle aspire l’homme moderne n’est pas celle de l’homme libre, mais celle de l’esclave un jour de fête"












Encore des citations superbes tirée de l'oeuvre de ce penseur génial ! :

Plus les problèmes sont graves, plus grand est le nombre d’incapables auxquels la démocratie fait appel pour les résoudre.

Les intellectuels révolutionnaires ont la mission historique d’inventer le vocabulaire et les thèmes de la prochaine tyrannie.






Le révolutionnaire veut changer la donne, le contre-révolutionnaire, le jeu.

Une “société idéale” serait le cimetierre de la grandeur humaine.

Les parlements démocratiques ne sont pas des enceintes où l’on débat, mais où l’absolutisme populaire enregistre ses edits.

Une foule homogène ne réclame pas la liberté. La société hierarchisée n’est pas seulement la seule où l’homme peut être libre, mais aussi la seule où il lui est indispensable de l’être.





Les riches ne sont inoffensifs que là où ils sont exposés au dédain d’une aristocratie.

La féodalité a été fondée sur des sentiments nobles : loyauté, protection, service. Les autres systèmes politiques se fondent sur des sentiments méprisables : égoïsme, convoitise, jalousie, lâcheté.
  • Devant les esprits vraiment grands, nous ne nous sentons pas humiliés, mais mystérieusement en accord.
  • La littérature ne périt pas parce que personne n’écrit, mais quand tout le monde écrit.

Quelques infos sur Wikipédia, et des inédits ici, dans les archives de Philippe Billé, dont on peut visiter avec profit le Journal Documentaire

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